BARTHÉLEMY (le marquis François), l’un des directeurs de la république française, né en 1750, à Aubagne en Provence, mort à Paris en 1830, était neveu du précédent. Au bout de ce temps (737), Siffroy retrouva fortuitement son épouse dans une chasse où il poursuivait la biche nourricière; il reconnut l’innocence de Geneviève, lui rendit tous ses honneurs, et fit mettre à mort le perfide Golo. Son visage s’enflamme, ses yeux brillent, il regarde son adversaire avec sévérité et audace – et je ne l’écoute plus, mais seulement l’admire. Physiquement, il était à la fois lourd et flasque, hideux par le bas du visage et presque majestueux par le front, l’enchâssement de l’œil et les temporaux. Dans l’espace de six ans, il s’était brouillé, puis raccommodé une douzaine de fois avec Schwob. La sœur de Paul, Camille Claudel, est une artiste de génie. Schwob fut avec moi un des premiers à prôner la vigoureuse originalité de Paul Claudel, qui venait de publier Tête d’or et la Ville, et préparait une traduction de l’Agamemnon

Un nouvel arrêt du 23 mars 1716 ordonna de livrer sur place le onzième du produit. » Lunéville, le 4 Mars 1719 ». Aucuns ne prennent la peine de provigner ceste plante, ains la laissent croistre et fructifier à volonté, cueillans le fruict en sa saison : mais le fruict ne se prépare si bien à l’aer, que dans terre, en cela se conformant aux vraies truffes, auxquelles les cartoufles ressemblent en figure ; non si bien en couleur, qu’elles ont plus claire que les truffes : l’escorce non rabouteuse, ains lice et desliée. Il n’est pas sans intérêt de relater ici ce que Chabrée dit, dans son ouvrage : « qu’on voit aujourd’hui (1666) le Papas americanum, c’est-à-dire la Pomme de terre, dans les Jardins de l’Europe. Les Frères Bauhin nous ont fait connaître à leur tour qu’ils la possédaient en Suisse, et que de là elle avait été importée dans la Bourgogne, qui est devenue successivement la Franche-Comté, c’est-à-dire une partie de la France actuelle. Il faut observer qu’Olivier de Serres dit que cette espèce de truffes, qu’il appelle Cartoufles, était venue de Suisse, et qu’encore aujourd’hui, en Suisse, on donne à la Pomme de terre le nom de Tarteuffel, qui approche beaucoup celui de Cartoufle »

C’est à Francfort (où Jacques Garet les cultivait au XVIe siècle) que Parmentier connut les Pommes de terre, chez le pharmacien Morin dans la demeure duquel il avait reçu un billet de logement, et c’est un nommé Grégoire, paysan de Jalhay près de Liège, qui apprit à Parmentier la culture du précieux tubercule ; Grégoire fut employé en France dans les plantations de Parmentier ». » Jersey. – Dans une année, l’île a produit 50 000 tonnes de Pommes de terre, récoltées sur 125 hectares et livrées immédiatement à la consommation. LXXII Sur les nèfles, 11 ; sur les serbes, 11. Lxx111 Sur les pommes de pin, x1i1. « Les Mémoires de l’Académie royale de Suède, dit-il, nous apprennent que, dès 1747, Ch. Skytes proposait d’extraire de l’eau-de-vie des Pommes de terre par distillation, afin d’épargner le grain qui est souvent très cher dans ce pays. » La terre propre à la culture des Pommes de terre doit être humide et aérée. Des renseignements particuliers nous permettent de dire que cette culture est en voie de progression, aussi bien pour la qualité des tubercules que pour leur rendement. Nous n’avons pas besoin de faire remarquer les détails assez curieux que nous font connaître cet Arrêt et cette Ordonnance, surtout en ce qui concerne l’introduction, à la même époque, de la Pomme de terre dans l’Alsace et les Vosges

« Au plus tard à l’issue d’un délai fixé par décret, un bilan de la mise en oeuvre du schéma est effectué. Une des plus jolies à offrir est la bague jumelle si à la mode maintenant, deux cercles soudés l’un à l’autre et qui ont une perle et un brillant comme ornement; l’alliance du brillant et de la perle est emblématique: la perle, la jeune fille; le diamant, l’épouse. 9 Le fugace présent emprunte, pour charmer les yeux, les formes les plus variées; bref, la fantaisie et l’ingéniosité ont beau jeu en pareille occurrence. 30 du présent mois de juin, en l’église de Saint-Pierre de Chaillot, à midi. Et vous prient d’assister à la bénédiction nuptiale qui leur sera donnée, le mardi 20 novembre 1894, en l’église Notre-Dame des Victoires, à midi très précis. Si le fiancé sort avec sa future et sa belle-mère en expectative, il doit offrir le bras à cette dernière; mais souvent, pour faire plaisir au jeune couple, celle-ci l’autorise à donner le bras à sa fiancée. Le jour de la remise de la bague, le jeune homme fera bien d’apporter un bouquet à sa future belle-mère

Il n’y a pas de dîner de fiançailles; la bague est remise dans une simple visite. Viardot a pu vous dire que je vous avais écrit et que je n’ai pas voulu lui remettre la lettre. Je ne veux rien vous dissimuler, j’ai reçu une lettre anonyme. Huit jours après le dîner ou la soirée de fiançailles, les parents du jeune homme invitent à leur tour la jeune fille et sa famille; lorsque le prétendant est orphelin, inutile de dire qu’il ne rend aucun dîner, eût-il une maison montée; un veuf peut seul se permettre cela. S’il y a un bal, la jeune fille l’ouvre avec son fiancé. 12 Pour ces dîners, les jeunes gens sont placés l’un près de l’autre, en face du père et de la mère de la fiancée; le père du jeune homme est auprès de la maîtresse de la maison, la mère auprès du maître de céans; s’il y a d’autres invités, on les groupe selon les âges, les positions, les sympathies. 15 L’on s’assied en cercle, les jeunes gens l’un à côté de l’autre, les parents, les témoins. Les jeunes filles peuvent porter toutes les teintes. L’usage veut qu’elle offre lesdits bijoux en présent à ses jeunes amies